La Grèce, pays le plus endetté de la zone euro, a vu sa dette diminuer au deuxième trimestre à 300,807 milliards d’euros, soit 150,3% de son PIB, contre 340,906 milliard d’euros (158,8% de son PIB) un an auparavant.
Au premier trimestre, la dette grecque avait diminué à 280,423 milliards d’euros, soit 136,9% du PIB, en raison de la restructuration consentie par les créanciers privés, mais elle a augmenté à nouveau au deuxième trimestre avec les nouveaux prêts accordés à Athènes par les pays de la zone euro.
Selon Eurostat, les prêts consentis à Athènes par les Etats de la zone euro, suivant un premier programme de renflouement, représentaient 1,6% du PIB de la zone euro au deuxième trimestre.
source : AFP
Avis de la rédaction : Alors que le parlement européen n’arrête de demander des fonds supplémentaires pour sa gestion, il serait peut être temps de se rendre compte que l’on paie au moins 5 personnes différentes pour faire le même travail un peu partout et que ces postes de fonctionnaires sont très couteux. Espérons que les agences de notation ne dégrade pas la note des différents fonds créés pour sauver les meubles sur le vieux continents sinon nous avançons tout droit vers une faillite collective dont il sera peut être impossible de se relever en Europe.