• Ajaccio (2e étape) : après une traversée en moyenne montagne, le final présente un petit "mur" dans Ajaccio pour rejoindre la route des îles Sanguinaires.
• Nice (4e étape ) : le contre-la-montre par équipes se dispute sur 25 kilomètres dans Nice. Mais les premiers écarts sont à prévoir pour les formations les moins bien armées.
• Ax-3 Domaines (8e étape) : le nouveau géant des Pyrénées, le port de Pailhères, précède la montée finale vers la station d'Ax. Un enchaînement quasi-idéal.
• Bagnères-de-Bigorre (9e étape) : cinq cols pour franchir les Pyrénées à saute-mouton. Le dernier sommet, toutefois, est distant de 30 kilomètres de l'arrivée.
• Mont-Saint-Michel (11e étape) : avantage aux rouleurs. Le parcours normand, plat, privilégie les coureurs les plus puissants jusqu'à la "merveille de l'Occident".
• Mont Ventoux (15e étape) : la plus longue étape (242 km) du Tour 2013 se conclut par l'interminable ascension du Géant de Provence, par le versant de Bédoin. Un mythe du Tour.
• Chorges (17e étape) : à l'entrée des Alpes, deux montées et deux descentes acrobatiques pour un "chrono" très accidenté au-dessus des eaux du lac de Serre-Ponçon. De la plus haute importance.
• Alpe d'Huez (18e étape) : la boucle finale de 54 kilomètres prévoit deux ascensions de l'Alpe d'Huez entrecoupée d'une descente impressionnante. L'étape-choc.
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• Le Grand-Bornand (19e étape) : deux grands cols pour commencer, trois autres sensiblement moins longs pour finir. La distance et la fatigue de fin de course devraient peser.
• Annecy-Semnoz (20e étape) : à la veille de l'arrivée, les deux derniers cols du Tour. Le terrain se prête aux manoeuvres collectives avant l'ascension finale, inédite.
Avec francetvinfo