Puis c'est cet étrange ours blanc inanimé, déchet quelconque, décomposition d'une baudruche, toile inerte qui s'expand mollement et prend vie. Prend vie de l'air insufflé. Peu de choses ntrecroisées là en somme pour un miracle récurrent : une peau flasque et la fétidité de l'air des entrailles de la ville.
Les sculptures gonfables (et pas gonflantes) de Joshua Allen Harris respirent le métro de New York. C'est d'abord le Air Zoo qui anime ses entités par intermitence. Il s'affriole aux courants
souterrains conjugués à ceux de la rue, courants d'art chaud. Sculptures pauvres qui font rire les passants.
Puis c'est cet étrange ours blanc inanimé, déchet quelconque, décomposition d'une baudruche, toile inerte qui s'expand mollement et prend vie. Prend vie de l'air insufflé. Peu de choses ntrecroisées là en somme pour un miracle récurrent : une peau flasque et la fétidité de l'air des entrailles de la ville.
Puis c'est cet étrange ours blanc inanimé, déchet quelconque, décomposition d'une baudruche, toile inerte qui s'expand mollement et prend vie. Prend vie de l'air insufflé. Peu de choses ntrecroisées là en somme pour un miracle récurrent : une peau flasque et la fétidité de l'air des entrailles de la ville.