Dans ma pile de lecture, j’ai un roman de Isaac Marion intitulé Vivants. Bobine sélective ne te fâche pas, j’ai la version ebook, j’ai profité d’une promotion chez Bragelonne pour me l’offrir à 0,99 euros ça aurait été dommage de se priver. Une adaptation sort en février 2013 aux Etats-Unis sous le titre de Warm Bodies pas encore de date de sortie française. Elle est réalisé par Jonathan Levine. Je suis assez curieuse du rendu mixte Epouvante, romance et drame.
Le casting compte: Nicholas Hoult (X-Men : Le Commencement) prêtera son corps au zombie R, Teresa Palmer (Numéro Quatre) interprétera Juliet. Rob Corddry et Analeigh Tipton. A noter, le grand John Malkovich fera également parti du casting.
Synopsis:
R a une vie compliquée. Il n’a pas de nom, pas de souvenirs ni de pouls. Mais il rêve.
R est un zombie et il est un peu différent.
Dans les ruines d’une ville à l’abandon, R rencontre une fille. Elle s’appelle Julie et elle est aux antipodes de ce qu’il connaît. Elle est vivante, palpitante. C’est un jaillissement de couleurs dans un camaïeu de gris. Sans vraiment savoir pourquoi, R choisit de ne pas la tuer. Et c’est le début d’une étrange relation, à la fois tendre et dangereuse.
Jamais cela n’était arrivé. R bafoue les règles des Vivants et des Morts et défie la logique, mais il ne peut plus se contenter d’une existence vouée à la mort. Il veut respirer à nouveau, il veut vivre, et Julie va l’aider. Mais leur monde ne se laissera pas transformer sans combattre.
- Pour moi, l’avenir est aussi flou que le passé. Seul le présent semble m’intéresser, et encore. La mort m’a rendu plutôt zen, en fait.
- Mais ce qui me rend triste, c’est d’avoir oublié nos noms. C’est ce qui me semble le plus tragique. Le mien me manque et je déplore la perte de ceux des autres, parce que je voudrais les aimer, mais je ne sais pas qui ils sont.
- Je la serre contre moi. Je veux faire partie d’elle. Pas seulement être en elle, mais tout autour d’elle. Je veux que nos cages thoraciques s’ouvrent et que nos coeurs migrent et se fondent l’un dans l’autre. Je veux que nos cellules s’entrelacent.
- Je suis mort, mais ce n’est pas si mal. J’ai appris à vivre avec.