Il estime en gros que le Tribunal fédéral se substitue sans doit au souverain parlement dans lequel Parmelin trône, dépassant son rôle de diseur de droit pour se lancer dans des interprétations hâtives et ne rentrant pas dans sa sphère d’intervention.
Doit-on rappeler à l’habile parlementaire que le TF est régi par une série de lois que le parlement a votées, que ses juges sont élus par l’Assemblée fédérale, et que dire le droit , de tout temps, ne se résume pas à appliquer servilement les arcanes terrifiants des textes légaux pondus par le Parlement.
En cas de vides ou de manifestes contradictions dans les textes si chers à Parmelin, il appartient constitutionnellement au TF de suppléer aux carences (fréquentes) du législateur.
Rien à voir donc avec une soi disant violation de la séparation des pouvoirs, sauf évidemment celle que le catéchisme blochérien a imaginée et que Parmelin rêve de museler.