En fait, je suis une nomade des blogs, je papillonne de l’un à l’autre et je poste parfois (parfois plein plein) mais c’est pas régulier.
Quoi qu’il en soit, par rapport à ce que j’ai écrit plus haut, j’étais persuadée que je finirai seule, vieille et décatie. Je m’étais fait une raison et j’avais organisé ma vie autour de mes pinceaux, mes fils et mes aiguilles. Jusqu’à ce qu’un « empêcheur de déprimer en rond » vienne m’agiter le neurone à bonheur. Neurone dont je pensais n’avoir jamais été dotée. Au début, c’est difficile, ça peut faire mal d’aimer quand on a pas l’habitude. C’est pour ça qu’on le rejette. C’est parce qu’on ne comprend pas. On a l’habitude de partager, d’être accompagnée, mais pas d’aimer. On a peur de ce sentiment qui rend dépendant alors que justement on a toujours revendiqué son indépendance. C’est déstabilisant et en même temps si doux.
Si ta vie est stable seule, qu’est-ce que tu risques en te laissant aller dans les langueurs amoureuses ? Si ça marche pas, t’auras vécu une belle histoire, même si il y a de la peine au bout. Mais si ça marche…!!!!!
Parfois, faut pas écouter sa raison qui est dictée par les peurs, les acquis pas toujours très heureux en la matière. Fais le vide en toi et écoute la petite voix qui vient de ton coeur. Bien souvent elle a raison.
Lulu ,
le 19 octobre 2012 à 12:17
en réponse à « Ne pas tomber amoureuse », mais bien sûr !