C'est ce qu'une compilation des principales statistiques des 4 dernières visites des représentants de la ville à l’aréna virtuel en 3D nous démontre:
- Peu importe comment on regarde les chiffres, le pointage final a été beaucoup plus serré (sauf en 2009) qu'il n'aurait dû l'être.
- On aurait tellement dû gagner en 2010!
- La rencontre du week-end dernier en est un bon exemple, Laval réussit toujours plus de longs jeux et est très opportuniste pour garder les matches serrés.
- On comprend encore mieux le fameux ouffff que tous les partisans et instructeurs ont laissé échapper après avoir constaté qu'ils ne perdraient pas par plus de 19 points.
- On va devoir transférer cette irrésistible énergie au PEPS-VERIZON-CHERIOS-BRICK si on veut sortir du cercle vicieux des victoires non-significatives.
Alors, après avoir invoqué la présence de C. Sanchez au poste de quart, les blessures à votre O-line, les irrégularités de votre attaque, on vous informe qu'il vous reste moins d'un an pour trouver une excuse applicable en 2013.
Et comme le veut la maxime d'un instructeur de Div. 1, qui dans un moment d'infinies sagesses nous a appris: “Men Lie, Women Lie, Numbers Don't”.