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— On a toujours massacré, on a toujours pendu, on a toujours empoisonné, on a toujours torturé des gens… pour changer le monde. Et il n’a jamais changé!
— Si tous les êtres avaient un esprit de tolérance, la liberté irait de soi.
— Ce n’est pas le gendarme lui-même qui me gêne, c’est ce qu’il représente.
— Les mots sont comme les enfants: ils ne naissent pas exactement au moment souhaité.
Georges Brassens, Les chemins qui ne mènent pas à Rome