Parmi les éléments exceptionnels figurent principalement l’impact de la valorisation de sa dette aux prix du marché et la cession d’une partie de sa participation dans sa co-entreprise de courtage, Morgan Stanley Smith Barney. La cession à Morgan Stanley de 14% de leur coentreprise, plus une dépréciation du solde sa participation (35%), lui ont coûté 4,7 milliards de dollars.
Le bénéfice net, hors éléments exceptionnels, de la division Securities and Banking a bondi de 67% à 1,62 milliard de dollars grâce aux bons résultats de la banque sur les marchés des taux et des actions. Son activité de banque de détail a enregistré une hausse de 7% à 2,16 milliards de dollars de son bénéfice net grâce à l’Amérique du Nord où le bénéfice net a augmenté de 18% à 1,3 milliard de dollars.
Le produit net bancaire a reculé de 33% à 13,951 milliards de dollars. Il a cependant augmenté de 3% à 19,4 milliards, hors éléments exceptionnels.
Sur le plan de la solidité financière, Citigroup revendique un ratio Tier 1 Bâle I de 12,7% à la fin du troisième trimestre et de 8,6% sous le référentiel Bâle III. Ce dernier s’élevait à 7,9% au 30 juin.
source : AOF