Un peu à l’image de leurs frères dans le film Lévy et Goliath, ils transportent avec le sourire et compensent. Que des billets de banque évidemment, pas de poudre.
Les journaux français font leur beurre avec ce fameux système de compensation. Et pourtant, dans la Genève puritaine, il est en usage depuis des décennies.
Et le système est encore bien plus subtil que celui que peinent à décrire les chroniqueurs, qui n’y comprennent en fait rien.
Quant au pourcentage que l’on peut lire ça et là, d’abord il n’est pas fixe mais dégressif, mais ensuite il n’est pas inférieur à 10%, tout compris s’entend.
Faut bien que les frais de « mission » soient aussi couverts.