Par Bernard Bujold (leStudio1.com) -
Il fut une époque où les citoyens montréalais étaient fier de leurs policiers et c'était tout un honneur que d'être photographié en compagnie du Chef.
Ce fut mon cas vers la fin des années 1990 alors que je m'étais lié d'amitié avec le chef Jacques Duchesneau... L'un de ses très proches collaborateurs fut même mon "beau-frère" alors qu'il fréquentait ma soeur.
Les policiers d'alors était une fière confrérie et on pouvait sentir le lien collégial qui les unissait. On pouvait surtout constater le respect entre policiers et citoyens. Ce n'est plus vrai en 2012 et il y a une sorte de "haine" et de "mépris" de la part des citoyens envers les policiers montréalais. Cette situation est très triste et même si on peut critiquer l'ex-chef Jacques Duchesneau pour son côté parfois arrogant, force est d'admettre que les policiers sous sa direction étaient respectés et aimés du public.
Jacques n'aurait jamais toléré un Matricule 728...
Souhaitons que cette époque revienne!
Pour la petite histoire, je suis presque devenu policier suite à mes amitiés de l'époque Duchesneau. En effet, mon "beau-frère" et moi avions sérieusement songé à démarrer une agence de détectives privés... Nous avions fait plusieurs démarches pour un permis mais lorsque vint le moment de débourser la caution de 10,000$ nous avons abandonné l'idée compte tenu des autres investissements élevés qu'il aurait été nécessaire de faire au niveau des équipements pour notre travail d'espions. Les iPhones n'existaient pas encore...
Il y avait aussi le fait que le "beau-frère" et ma soeur se sont séparés...
FIN DE L'HISTOIRE! /
Photo 1: Jacques Duchesneau et Bernard Bujold ;
Photo 2: Bernard Bujold, Jacques Duchesneau et le 'beau-frère";
Voir album photo LeStudio1.com ( Heidi Hollinger) ;