11/9. C'étaient pas des musulmans...

Publié le 10 octobre 2012 par Tuttouno

Auteur : Take Our World Back
Ouvrage : C’étaient pas des musulmans
Année : 2009
Lien de téléchargement : C_etaient_pas_des_musulmans.zip
Mot de passe de l'archive : www.histoireebook.com
Maintenant qu’une revue scientifique révisée par les pairs a finalement publié la preuve de l’arme du crime (c’est-à-dire la nano-thermite inerte), démontrant hors de tout doute que les tours du World Trade Center (WTC) 1, 2 et 7 ont été détruites par démolition contrôlée, voici d’autres faits à considérer. Ce ne sont pas des musulmans dans une grotte afghane qui ont pu avoir accès à de la nano-thermite hautement énergique. Ce sont plutôt l’armée américaine et les scientifiques du gouvernement, tels que ceux liés au NIST. Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction ayant obtenu un contrat de 124 millions de dollars pour la construction de la Naval Sea Systems Command (NAVSEA), à Washington DC, qui supervise l’ Indian Head Naval Surface Warfare Center (NSWC-IH), lequel a été qualifié dans les années 90 de « Centre national d’énergétique », le terme militaire pour « travail avec des explosifs », et qui était en 199-2000 la « seule source fiable de nano-poudre d’aluminium aux États-Unis ». C’est plutôt Tom Leppert, qui le 11 septembre était PDG de Turner Construction, et qui a même écrit des parties de discours présidentiel. Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction qui a supervisé en 2000 la démolition du dôme de Seattle (le Seatle King Dome) ; qui ont participé après le 11 septembre à la collecte de l’épave de la structure d’acier des tours du WTC et effectué d’importantes rénovations dans l’ensemble du complexe du WTC jusqu’à la matinée du 11 septembre, incluant la protection ignifuge des mêmes planchers qui ont été frappés par les avions et, par la suite «ont failli «, alors que l’acier avait été certifié ASTM E119 par Universal Laboratories, et alors qu’au cours des essais parrainés par le NIST sur des planchers similaires, soumis à une plus grande chaleur et avec moins de protection ignifuge que celle du WTC, les échantillons « ont été en mesure de soutenir le stress maximal admissible » sans s’effondrer et pour toute la durée des tests (2 à 3.5 heures). Le 11 septembre, c’est en fait Tom Leppert qui était PDG de Turner Construction et qui reçut ensuite le prix Torch of conscience (flambeau de la conscience) du Congrès juif des États-Unis. Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait des tests de caméra sur les tours du WTC avant le premier impact des avions, qui ont dansé et célébré en se tapant dans les mains avant le second impact, alors que la plupart des spectateurs croyaient encore que c’était un terrible accident ; et qui ont été pris avec des passeports étrangers, 4700 $ cachés dans une chaussette, des cartes géographiques mettant en évidence certains endroits de la ville et une fourgonnette testée positive pour les traces d’explosifs. Ce sont plutôt les Israéliens Sivan Kurzberg, Paul Kurzberg, Yaron Shmuel, Oded Ellner et Omer Marmari, dont plusieurs ont été identifiés comme agents du Mossad, qui ont avoué avoir été mandatés de « documenter l’événement ». Ce ne sont pas des musulmans qui ont été capturés le 11 septembre, travaillant en équipe avec des camionnettes pleines d’explosifs, qui ont tenté de faire sauter le pont George Washington avec l’une de ces camionnettes, qui ont fait sauter une camionnette (peinte avec une image montrant des avions plongeant sur New York) entre la 6e et la 7e av. sur la Rue King. Ce sont plutôt des Israéliens, ce qui explique pourquoi les autorités ont fait de leur mieux pour ignorer et enterrer ces rapports, incluant celui qui rapporte une camionnette suspecte dans le sous-sol du WTC et qui l’on a fait exploser pour affaiblir la structure. Ce ne sont pas des musulmans qui se sont faits prendre, peu après minuit le 7 Mai 2002, à proximité de la base aérienne de Whidbey Island, à Oak Harbor, Washington, (où la marine effectue des essais de munitions explosives pour des unités mobiles anti-bombe au détriment de la vie marine locale), avec un camion de location qui a testé positif à la présence de plastique explosif (TNT et RDX). Ce sont plutôt des Israéliens, déguisés en «livreurs de meubles», mais suspects selon les autorités en raison de l’heure matinale. Les affirmations subséquentes des autorités, selon lesquelles la réaction des chiens et les premiers tests d’explosifs étaient erronés, est tellement pleine de trous que cela ne fait que démontrer la puissance du lobby israélien. ...