la terre n’efface rien, ni les souvenirs d’un corps,
ni ses promesses, elle ne peut apaiser sa misère,
elle n’a aucun pouvoir,
sauf, peut-être, de l’accueillir,
de lui attribuer un lieu, un gîte, pour qu’il puisse se déliter,
pour qu’il puisse la nourrir
Umar Timol.