Après cette semaine agitée autour des réactions ou de timidité de réactions sur le milliard perdu je veux retrouver un peu de "détente" graphique avec un esprit critique mais toujours adossé aux réalités sociales, au délitement de nos urbanismes comme facteur de perte d'identité. Je pense aux barres des années soixante vécues alors au regard des bidonvilles, des taudis environnants, comme la promesse d'un paradis et aujourd'hui démantelées, explosées et coupables d'avoir abrité, d'avoir suscité en leur sein le fléau des abandons sociaux et d'avoir nourri les crispations, les désillusions et les exclusions du vivre ensemble
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