Alors autant que faire ce peut, je propose les éternelles applications qui plaisent tant au lutin, par exemple les attrimaths.
Il y a toujours un petit modèle à recouvrir en toute liberté...
Mais surtout nous entamons bien (en les faisant et refaisant) les symétries et les rotations.La difficulté est bien plus grande pour le chenapan, quelque fois avec du temps et de la concentration il y arrive seul...
et quelques fois il passe par un état de frustration intense...
avec quelques fois des petits pièges d'une forme coupée en deux.