L'origine de cette recette est multiple. Ca vient d'abord du fait que le plat principal (du Lundi de Pâques) était de l'autruche (à peu près la même recette qu'ici). Et j'avais quelques chutes de disponible.
Ensuite, il y a un hommage (in)conscient à la mise en bouche ci-dessous mangée deux jours plus tôt chez Marcon.
Enfin, depuis une semaine, j'ai un pot de coriandre fraîche qui trône dans la cuisine. Il faut bien s'en servir!
Quant au voatsiperifery, c'est le nom indigène du poivre sauvage de Madagascar. Un poivre absolument génial dégotté par Gérard Vives: frais, vif, très aromatique, mais pas trop brûlant.
Il y a aussi une petite goutte de réduction de vinaigre balsamique pour faire le lien et le peps.
Et pour finir, quelques grains de sel noir d'Hawaï, croquantissimes.
Je vous laisse imaginer ce que l'ensemble donne en bouche: petit mais très intense!