Mardi, je reçois une carte postale de ma grand mère. Dans la famille, on a beaucoup d'humour (à vous de juger au vue du choix de la carte)
Mercredi, je dégote un boulot pour cet été, et en rentrant, je crois que je me pensais déjà riche, je me suis donc arrêtée chez kiko. Bilan : un vernis, un crayon, et un anticernes plus tard, j'ai dépensé une semaine de courses. Se ravaler la façade ou manger, il faut choisir.
Jeudi, j'ai ENFIN réussi à faire cette putain de tresse à quatre branches ou épi de blé comme on dit dans le milieu de la tresse. J'étais saucée de moi même mais comme d'habitude, des que mes cheveux ressemblent à quelque chose (comme ce soir) ou que j'arrive à me maquiller sans ressembler à rien, bah c'était un essai et je n'avais pas prévu de bouger de chez moi. La vie est ironique, sometimes. (tu sais maintenant que je suis une grande philosophe)
Vendredi, je passe mon oral pour l'école de Nantes. C'était cool, y'avait des madeleines et du café à volonté, résultat j'étais survoltée, pire qu'une pile électrique. Et voici ce que j'ai du débattre à l'oral, trèèès sympa ce petit Paul Valéry. S'en est suivi un débat sur la parité en politique, laisse moi te dire que j'ai recraché mon cours et que c'est passé comme une lettre à la poste (résultats mardi, on croise les doigts de pieds!)
Samedi : retour au bercail. Avec ce temps, impossible de rester enfermée chez moi pour bosser. DONC je me fais dorer la pilule, tout l'aprem trop contente de mon plan, pendant que la copine qui partage avec moi cette période de dur labeur ne met en garde toutes les demies heures "t'es un peu rouge" "-mais t'inquièèèèètes je prends jamais de coups de soleil. et puis ça se transformera en bronzage!". erreur. Samedi soir, je ressemble à ça :
et en plus ça me fait rire.
Dimanche, je commence sérieusement à saturer de l'histoire des idées. Marx, Proudhon, tous vos copains socialo : à l'aide. Si je pouvais être vulgaire...