Mardi, partiel donc. Passons le détail des questions auxquelles je ne m'attendais pas, etc. Juste, mardi, il m'arrive un truc de fou : je finis un bic. Non mais sérieux un BIC quoi, qui a déjà fini un bic? C'est comme les gommes ces trucs là, ça se finit jamais! Du coup, je me suis dit que c'était un truc vachement cool à vous raconter. Bien sur la photo juste comme ça ne sert à rien mais ça vous oblige à lire les textes (flemmards repérés)
Mercredi, je retrouve une pine-co à la bibli pour bosser, et pour prouver que le niveau de révisions devient trop intense pour encore faire des blagues intelligentes, voilà ce à quoi on s'amuse : essayer de prendre l'autre en flagrant délit de pause/de flemme/ou tout autre activité entravant les révisions, et poster ça sur facebook. Je la prends en train de dormir à la bibli : pour se venger, elle met une photo de moi au soleil (révisant) (elle a coupé la partie cours/cahier) (on ne voit que : les lunettes, le chapeau, le maillot et la clope. Crédible).
Jeudi, je sors de mon trou et vais prendre l'apéro dans l'école d'une pote. Il faisait bon, les bières n'étaient pas très fraiches mais cela ne m'a pas empêchée d'en enfiler quelques unes et y'avait de la musique orientale (ça, c'était vraiment marrant).
Vendredi, j'achète des clopes et j'ai encore la vieille photo de la bouche immonde. Cette fois ci je me dis que y'en a VRAIMENT marre, déjà la journée sans tabac ça m'avait soulé, les blagues de merde sur twitter (il vous reste les pipes HINHINHIN : trop marrant. Abruti!) m'avaient aussi soulée, du coup j'ai fait la philosophe pour signifier au monde entier que fumer c'était choisir de le faire, avoir conscience que fumer c'était + de risques de mourir jeune toussa, que je savais que je pouvais me retrouver avec des dents moisies un jour ou l'autre (si c'était le cas je m'achèterai un dentier et n'en parlons plus).
Samedi, plutôt que de me concentrer pleinement sur mon cours : vernissage d'orteils de pieds. J'ai vachement bien réussi à le poser, seul détail : je n'ai toujours pas de chaussures ouvertes, mes orteils ne respirent donc pas l'air doux du mois de juin (quoique à l'heure ou je rédige ce billet, il fait même pas 20 degrés), résultat mes talents restent bien cachés au fond de mes chaussettes (enfouis dans mes vans, putain il fait chaud la dedans mes enfants...)
Dimanche soir, je me mate Nos jours heureux, et après l'avoir vu 20 fois, Caroline me fait toujours autant rire. Extraits... ("ah les pédés!")