Crise économique, fermetures d’usines, marché automobile en forte baisse,
le Mondial de l’auto n’aura pas ouvert dans la sérénité cette année, c’est le
moins qu’on puisse dire. Et l’enjeu est de taille :
il faut continuer à faire rêver autour de la voiture, alors que sa place dans
l'imaginaire collectif n'est plus la même qu'autrefois. Autre problématique : au mondial, un salon de cette renommée, toutes
les marques sont présentes et du coup la concurrence est rude et il faut
marquer son territoire. Alors
sur les stands, les marques rivalisent de
mises en scène pour faire vivre des moments inédits aux visiteurs. Une méthode
pour que ces derniers passent le plus de temps possible dans leur espace. Une manière
aussi de créer une proximité supplémentaire avec le public. C'est le retour de l'auto emociòn.
François BRICHANT