L'ex-candidat centriste aux présidentielles doit se sentir bien seul. Après avoir dit pire que tout sur M. Borloo, voici qui espère partager avec ce dernier la place de premier du nouveau groupe centriste. Car M. Bayrou ne pense même pas que sa place puisse être ailleurs qu'au sommet.
Ne mesure-t-il pas la distance qui le sépare du PRV, lui qui a courtisé Mme Royale et préconisé le vote Hollande ?
Une bien pitoyable posture, une bouée qui risque de se dégonfler sous le poids de sa suffisance.