Parmi les plus illustres adeptes de cette technique pour le moins controversée, l'intérieur brésilien, Anderson Varejao. Interrogé lors du media day (et repris par le Cleveland Plain Dealer)des Cavaliers sur ces nouvelles mesures, il n'a pas voulu trop en rajouter.
"Je ne flopperai plus. Cela m'est parfois arrivé dans le passée."
On appréciera au passage son sens particulièrement affirmé de l'euphémisme. La colonie sud-américaine de la NBA, plutôt renommée dans la discipline (Manu Ginobili, Tiago Splitter, Leandro Barbosa, entre autres), va sans doute devoir changer de méthode afin de ne pas être ponctionnée de plusieurs milliers de dollars au cours de la saison.
"C'est une bonne chose, quand ça devient ridicule, et que les joueurs floppent vraiment. Les arbitres ne peuvent pas tout voir. Je crois que quand c'est trop, trop exagéré, c'est une bonne idée.
Est-ce que cela va interférer dans mon jeu ? Je ne sais pas, on verra comment ça se passera."
Varejao préfère rester prudent et ne pas s'attirer les foudres du grand chef David Stern. Sans doute espère-t-il passer au travers des gouttes en évitant de se faire remarquer...