« CE QUE L’ESPRIT PEUT CROIRE,
L’ESPRIT PEUT LE REALISER »
Croyez que vous pouvez cesser de vous arracher les cheveux ? Que vous avez un désir brûlant de faire ainsi… ?
Ceux qui suivent ce programme (depuis le début) voudront obtenir des résultats à l’approche de la date qu’ils se sont fixé.
Quand ce jour viendra, déclarez-vous libre de tout arrachage avant d’aller au lit, sans oublier de formuler une affirmation positive :
« J’aime mon corps. J’ai le pouvoir de me guérir. »
Au matin faites-vous confiance.
Vous avez renforcé votre désir d’être libre et vous serez libre ! Vous avez appris quoi faire pour surmonter les envies d’arracher et vous êtes assez forts pour contrôler ses éléments.
D’ailleurs, il a sûrement été difficile de trouver une bonne raison pour vous arracher les cheveux et/ou les poils la semaine dernière !
Activités pour la cinquième semaine
- 1) Si le désir d’arracher montre le bout de son nez, pensez à la raison de celle-ci. Elle est sûrement due à la fatigue, à la colère, à la pitié, à la faim, à un problème, à un mal de tête, à cause d’un excédent de nourriture, etc… au fond de vous vous le savez.
Traiter le besoin intelligemment ! Habituellement la source de la pensée est traitable :
- 2) Prévoyez les futurs déclenchements. Pensez à toutes les choses qui pourraient probablement se produire dans l’avenir car cela seraient des situations à risque pour vous. Ayez un plan de la façon dont vous traiterez le besoin d’arracher. Si vous travaillez cela, vous pourrez prévoir les stimuli avant qu’il n’arrive et ainsi mieux le contrôler.
- 3) Continuez toutes les activités des semaines précédentes.
- 4) Entretenez le journal de bord de votre thérapie. Continuez d’écrire vos sentiments sur votre processus de guérison.
- 5) Veiller à vos crises. Vous avez maintenant beaucoup de raisons qui font que vous n’allez pas recommencer.
- 6) Lisez votre journal de bord fréquemment. Imaginez votre vie sans la trichotillomanie. Visualisez la joie et la confiance qui peut en découler.
- 7) Tous les matins, au réveil et tous les soirs, aussitôt au lit, fermer les yeux et, sans chercher à fixer son attention sur ce que l’on dit, prononcer, assez haut, pour entendre ses propres paroles, la phrase suivante :
- Essayez la respiration contrôlée et les exercices de méditation guidée, changer votre routine (faites une promenade, prenez un jus de fruit, un bain, lavez-vous les cheveux, faites de l’exercice, appeler quelqu’un).
- Si la pensée de l‘arrachage apparaît, essayer de l’imaginer sur un fil ou une ficelle
Ne croyez pas n’importe qui, qui vous dit que vous ne pouvez pas arrêter. Il ne pourrait pas vouloir que vous réussissiez là où il a échoué.
« Tous les jours, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux. »
Les mots « à tous points de vue » s’adressant à tout, il est inutile d’avoir recours à d’autres autosuggestions particulières.
Faites la, d’une façon aussi simple, aussi enfantine, aussi machinale que possible.
En un mot, la formule doit être récitée et répétée plusieurs fois.
De cette façon, l’on arrive à la faire pénétrer mécaniquement dans l’Inconscient.
- La nouvelle thérapie, 1ère semaine.
- La nouvelle thérapie, 2ème semaine.
- La nouvelle thérapie, 3ème semaine.
- La nouvelle thérapie, 4ème semaine.
« La compréhension du fonctionnement du cerveau permet de devenir son propre thérapeute… en modifiant soi-même ses sensations, ses émotions et ses comportements. »
Anthony Robbins