Nouveau rebondissement dans "L'amour est dans le pré". Selon les informations exclusives de Télé Loisirs, Annie a décidé d'attaquer Fremantle, la société de production de l'émission à succès de M6.
Mais que-se-passe-t-il cette année dans "L'amour est dans le pré" ? Alors qu'elle ne cesse de réaliser d'excellentes performances et permet chaque lundi soir à M6 de se hisser en tête des audiences, l'émission de dating est au coeur de vives polémiques. Après Dany qui a été finalement supprimé du programme, Annie a décidé à son tour d'attaquer Fremantle, société productrice de "L'amour est dans le pré"...
Un litige avec un cadreur de l'émission
Intrigués par les propos de Dany dans le magazine Public, nos confrères de Télé Loisirs ont contacté Annie. "Par crainte des conséquences que son témoignage impliquerait, celle-ci n’a pas souhaité répondre à nos questions mais nous a tout de même orientés vers son avocate", précise le magazine. D'après son avocate, Annie aurait notamment eu un litige avec l'un des cadreurs de l'émission: "Quand Annie fait un malaise à la fenêtre à Paris, elle était avant étendue par terre raide malade parce qu’un caméraman lui avait fumé sous le nez comme un pompier".
"Ils n'ont pas de revenus et sont largement exploités et insultés sur des contrats précaires"
Mais ce n'est pas tout. L'avocate d'Annie dénonce " le contrat ou plutôt la convention d’occupation précaire" signé par l'agricultrice avant le début de l'émission, et plus particulièrement la clause très stricte qui interdit les participants de "L'amour est dans le pré" à s'exprimer dans les médias: "Je ne sais pas ce que c’est que ce truc là. En gros, les gens qui sont filmés n’ont aucun droit à l’image, aucun droit de regard sur rien !". "Tous ces agriculteurs sont pour la plupart au RSA, il faut le savoir. Ils n’ont pas de revenus et sont largement exploités et insultés sur des contrats précaires. Et comme il s’agit de gens "ordinaires", ils le vivent de plus en plus mal", explique-t-elle.
Assurant avoir adressé un courrier à Fremantle, l'avocate d'Annie précise: "Si vraiment il y a impasse, j’envisage une assignation au regard du contrat qu’ils leur ont fait signer". "Annie a peur pour son image. Elle passe déjà pour une saloperie, une casse-pieds, elle reçoit des courriers d’insultes. Ces gens-là ne sont pas prêts à recevoir autant d’animosité, sans compter les déferlements sur internet. Et ce qui gêne Annie, c’est de passer encore plus pour une sale bonne femme. Aujourd’hui, elle a peur", conclut-elle.