Nancy-Montpellier : Les réactions d’après-match.

Montpellier a relevé la tête en allant s’imposer sur la pelouse synthétique de Nancy samedi soir (2-0). C’est le deuxième succès de la saison pour les hommes de René Girard. En revanche pour Nancy, l’inquiétude est de mise. Retrouvez ci-dessous les principales réactions d’après-match.

René Girard (entraîneur de Montpellier) : «C’est bien, tout est bien. Il ne nous manquait pas grand-chose pour que cela bascule même si on a eu une première demi-heure assez compliquée, le temps de s’habituer au gazon. On a perdu beaucoup de ballons, des ballons faciles, jusqu’à ce qu’on retrouve le fil du match. On a du mal à rentrer dans les matches. Après, ça a été un petit peu mieux. On n’a pas pris de but, on en met deux. C’est bien pour les garçons. Ça va redonner une petite bouffée d’oxygène.

Souleymane Camara (attaquant de Montpellier, sur BeIn Sport) :«C’est clair que c’était difficile, surtout la première mi-temps. On a bien réagi en deuxième, on est contents. De temps en temps, je mets des frappes comme ça… Ce qui me fait plaisir, c’est qu’on n’a pas pris de but, c’est bien pour l’équipe».

Younes Belhanda (milieu de terrain de Montpellier, sur BeIn Sport) : «Depuis le début de saison, on ne fait que des bouts de match et là ce soir on a rempli notre mission : faire 90 minutes à fond. Il faut essayer de garder cette qualité technique. Même si on concède des occasions, on arrive à en mettre deux sans en prendre. C’est de bon augure pour la suite».

Jean Fernandez (entraîneur de Nancy) : «C’est frustrant. On est dans la situation où on a besoin de points. On paye cash un manque d’efficacité dans les deux surfaces de réparation alors que dans le jeu, on a eu des choses intéressantes. J’ai dit aux joueurs, et le président l’a fait également, de ne pas baisser les bras. C’est le match le plus accompli depuis le début de saison. Malheureusement on l’a perdu parce qu’on est sur une mauvaise dynamique. On n’a pas trop la réussite avec nous. Mais on va continuer à travailler. Dans ce genre de situation, il faut travailler et moins on parle, mieux c’est».

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