« je suis le pro qui se fait arrêter le plus souvent. Je n’ai pourtant pas le monstre d’Aubameyang (Une Aston Martin verte pomme). J’ai pris l’habitude des fouilles au corps, mains collées contre ma BMW. Elle me mettent mal à l’aise quand les gens me reconnaissent dans la rue, et pas les policiers » explique le joueur stéphanois dans les colonnes de l’Equipe.
« Cette image des jeunes des quartiers me colle. Avec le temps, je me suis aperçu que ça facilitait les choses de dire que j’étais footballeur » ajoute-t-il.
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