Cet été j'ai pu constater tout ce qui sépare à Barcelonette les conceptions de la mort entre deux civilisations. Décidement l'aspect baroque des mexicains a plus de gueule que le morbide affligeant qui porte notre culture. On retrouve chez eux ce je ne sais quoi d'humain des "danses macabres" du moyen-âge!
et tout autre chose mais tout aussi "baroque" avec cette approche très personnelle de ma visite au printemps dernier de l'expo de G. Richter.
michel tabanou 2012