Faut-il connaître la tourmente,
S’emplir de tant de doutes,
Pour enfin découvrir l’évidence de l’espérance,
Et s’engager sur l’océan de son existence,
Toutes voiles de certitudes tendues aux vents du bonheur,
Plaisir de vivre alors,de peu mais bien,
Quand même l’erreur ne touche l’inestimable valeur de notre coeur,
Lui qui a vaincu les plus virulentes dépressions de nos angoisses,
L’expérience fait parler sa voix,notre être profond enfin l’entend,
Adieu tourmente et doutes,
Déjà les eaux calmes de l’amour proposent leurs rivages d’allégresse.