Le poker ne comble pas l’après carrière des pilotes de F1

Contrairement à bien d’autres sportifs tels que tennismen ou footballeurs, les anciens pilotes de F1 ne se sont pas reconvertis à une carrière de joueur de poker.

Si Eddy Irvine a parfois flirté avec le poker auprès d’autres pilotes de Formule 1 encore en compétition aujourd’hui comme que Jaime Alguersuari, Michael Schumacher ou Jarno Trulli, il n’est pas pour autant devenu un ancien des circuits entamant une carrière de professionnel de poker. Souvenons-nous que c’est le mémorable Robert Kubica qui avait initié ses camarades au poker, et que les pilotes disputaient quelques mains acharnées entre deux essais, histoire de se détendre sans pour autant perdre leur esprit compétitif.

Sans doute que les fans de courses automobiles aimeraient voir se hisser aux rangs de meilleurs joueurs mondiaux, leurs dieux de l’asphalte. Les sponsors – sites de poker en ligne ou de casino en ligne comme celui-ci par exemple – ayant depuis peu intégré les circuits réussiront peut-être à convertir les pilotes en mal de volant lorsque leur carrière aura sonné le glas. Mais pour l’heure, nous n’en sommes pas encore là.

Les pilotes de Formule 1 sont confrontés tout au long de leur carrière à une poussée d’adrénaline incomparable, non égalée dans les autres sports sans que ceux-ci aient à démériter. Reste à savoir s’ils peuvent trouver aux tables de poker le piment suffisant pour retrouver dans des tournois, même mondiaux, celui qui les fait frémir aujourd’hui encore. C’est peut-être ce qui peut expliquer que l’après-carrière des pilotes de F1 ne s’oriente pas – semble-t-il – vers les casinos, ni vers les sites de poker en ligne au point de se lancer dans les World Poker Tour et autres European Poker Tour, Everest Poker et World Series of Poker.

Bien que coutumiers – et passionnés nostalgiques – du circuit de Monaco, les anciens pilotes de Formule 1 ne sont pas non plus sur la liste des Stars des tournois mondiaux susceptibles de se dérouler dans le fabuleux Casino de Monte Carlo. Peut-être ont-ils trop souvent foulé le goudron du virage éponyme ?