billets ce mois-ci.
visiteurs uniques quotidiens ce mois-ci.
1er septembre : Les images vont-elles disparaître ? (Lectoure)
5 septembre : Vérité, réalité et nature dans les photographies d'August Strindberg
6 septembre : Le mystère de la chambre noire (Choi)
7 septembre : "Les jeunes filles sont faites pour être regardées" (Marcel Proust / Claude Nori)
12 septembre : Galeries, c'est la rentrée
13 septembre : Un État palestinien, enfin ! (Larissa Sansour)
14 septembre : Un photographe innovateur à la puissance trois (Moï Wer)
17 septembre : Le monument au chômeur inconnu (Mohamed Bourouissa)
19 septembre : Les artistes sont-ils des flemmards ? **
24 septembre : La première photographie (Niépce) *
25 septembre : L'oeil d'Helmut Gernsheim
25 septembre : Les petits cailloux de Valérie Jouve
26 septembre : Andreas Gursky a trouvé plus fort que lui
* billet le plus lu (fois)
** billet le plus commenté (fois)
billets mis en avant sur lemonde.fr
Livres reçus ce mois-ci :
- Les Archives Alinari, superbe catalogue en leporello de l'exposition de Christophe Berthoud, aimée à Arles cet été.
- Bernard Plossu, 8 / super 8, textes de Christophe Berthoud, Éditions yellow now, 2012.
- Pierre Savatier, Photogrammes, Éditions Monografik, 2008.
- Christophe Lefébure, Un café à la campagne, Éditions du Rouergue, 2012, un livre de photographies de cafés de campagne, pleines de charme et de nostalgie.
- Adel Abdessemed, Entretien avec Pier Luigi Tazzi, Actes Sud, 2012, à lire avant sa prochaine exposition au Centre Pompidou; Abdessemed est très intéressant, mais son interviewer, Pier Luigi Tazzi, pratique allègrement la langue de bois postmoderne, le name-dropping pour montrer qu'il connait tous les artistes contemporains, et la rage de catégoriser tout en -isme. Dommage.
- Edward Hopper, De l'oeuvre au croquis, Éditions Prisma, 2012, en avant-première de son exposition prochaine au Grand Palais.
- Mathieu Pernot, Les Migrants, 2012, autour de son exposition chez Éric Dupont.
- Christiane Peugeot, On a retrouvé le journal d'une cocotte de la Belle Époque, Madame Steinheil, ma grand-tante, Éditions Unicité, 2012, l'histoire de la dame auprès de qui expira le Président Félix Faure (comme le dit Clemenceau : "il voulut être César et ne fut que Pompée").