Mais le régime est toujours en place. Et le fils aîné du convalescent, Ahmed, le commandant de la Garde républicaine, se tient déjà prêt. Les neveux de Saleh noyautent également l’appareil d’Etat. Même si le président ne revient pas au Yémen, la bataille entre le régime et l’opposition, appuyée désormais par le puissant général Ali Mohsen Al-Ahmar, n’est donc pas terminée. Deux solutions : la victoire militaire de l’une des parties, ou la médiation du voisin saoudien.
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