Le 17 mars 2008, je vous entretenais du dernier disque de Martin Léon, Le facteur vent. Je vous disais que j’aimais toutes les chansons, que je n’avais aucune préférée.
Changé d’idée. La onzième, Le Phalène, me rend fou présentement. Je l’écoute en boucle, sans arrêt.
Le texte poétique de cette chanson m’ébranle, la mélodie et la musique transcendent la pièce et accompagnent magnifiquement la voix chaleureuse du chanteur, qui dicte les paroles. À un certain moment, de doux chants féminins, en chœur, ajoutent perfection à cette balade. Goût de ciel.
Encore bravo, Martin Léon.
P.-S. : Phalène : ◙ Beau papillon nocturne ou crépusculaire.
Lo x