Les deux vins blancs, commentés aujourd’hui ont accompagné des plats à base de poisson (noix de Saint Jacques sur une mousse d'avocat, et timbale de lotte).
La noix de Saint Jacques telle que décrite est devenue ces derniers temps une des mes entrées favorites, en raison des multitudes de saveurs qu'elle dispense, qui permettent des associations variées, et des plaisirs qu'elle semble apporter à nos hôtes.
Fin août , nous recevons un ami fin dégustateur et gourmet. Le menu s'est voulu simple, mais à base des meilleurs produits de saison que j'ai pu trouver.
La noix de Saint Jacques a constitué l'entrée apèrs les traditionnelles mises en bouche, et le plat principal, de l'agneau a été accompagné d'un Pavie-Macquin 2004, qui a fait l'objet de commentaires précédemment.
Montlouis : Chidaine : Clos du Breuil 2007
La robe offre une teinte or soutenu, le nez, net et d’intensité moyenne, évoque le tilleul, le coing, avec des notes de poires et d’agrumes. La bouche de construction longiligne, est finement charnue, le centre, souligné par des fruits frais à l’expression modérée, un ton au dessus de l’attaque est mis en valeur par une acidité gustative de bon aloi. La finale d’une bonne persistance est tendue, fraîche, aérienne, plus florale que fruitée et ponctuée par de belles notes salines. Noté 15,5, même note plaisir
Bourgogne François Jobard : Meursault Genevrières 1997
La robe, de couleur légèrement dorée, est un peu trouble. Le bouquet est intense et complexe, avec des arômes de truffe blanche, de croute de fromage, de fleurs variées, d’herbes fraîches et de cumin, avec des notes de fruits blancs. La bouche est charnue, presque grasse, en attaque, sphérique dans son milieu, bien tenu par une acidité « mûre », qui donne de l’allonge à une finale, soutenue, d’une bonne fraîcheur, avec des saveurs rappelant celles décelées à l’olfaction auxquelles s’ajoute la sauge, et des notes salines et crayeuses. Noté 16, note plaisir 16,5
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble