[Avertissement : ce récit est très (trop) long, il comporte 17089 mots (!), j'en ai conscience, mais je n'ai pas su faire autrement, je ne voyais pas comment vous emmener avec moi là-bas en en supprimant des passages : tant pis (Au moins, je peux espérer qu'il vous "fera de l'usage", comme on dit dans le Nord..) ! J'ai pensé un temps le publier en plusieurs fois, mais j'aurais forcément dû le couper à des endroits qui auraient obligé le lecteur potentiel à attendre la suite, ce que j'ai supposé être désagréable -d'autant qu'il y a plusieurs suites... Bref, donc, le voilà, en un seul tenant. D'autre part, statistiquement et me connaissant, il y a sûrement des fautes, d'accord notamment : je vous prie par avance de bien vouloir m'en excuser... Enfin, il s'agit, plus que jamais, d'un récit subjectif, comme toujours (je ne trompe personne, c'est indiqué au fronton du blog) : certaines considérations … Lire la suite →
Article original : Au Guet-apens.