Déraisonner pour dire l’amour de notre coeur,
Quand la trop raisonnable lucidité s’évertue d’afficher le mensonge de l’apparence,
Faut-il blâmer la folie qui s’empare de notre être,
Elle n’est démence,mais tant de pleurs envahissent notre conscience,
Profonds regrets de n’avoir davantage aimé,
Retrouver toute la vérité,tout l’essentiel,
Toute la priorité de ce maître de notre sagesse,
Guide vers l’ultime allégresse,
Notre amour,en toute extravagance le proclamer,
En cette existence l’exalter désormais en première vérité,
Qui trop longtemps l’a oublié,
Non point de déraison pour dire la beauté,la divinité de l’amour.