Le roman de Marie-Claude Jouvet intitulé “Des ravioli aux escalopes à la crème en passant par le couscous” a obtenu une critique sur le blogue littéraire de Serge Léonard. La critique du livre se retrouve aussi sur le site Babelio (voir ici) : Avec un titre comme celui-là, on pourrait croire à un livre de recettes culinaires. Il m’a été envoyé par les Éditions Dédicaces pour ainsi connaître mon avis. Déjà, le nom m’a étonné par sa forme, mais également par sa longueur. Ceci dit, il s’agit d’un roman historique. Vous saurez pour quelle raison, un peu plus loin dans ma chronique, pourquoi avoir choisi cet intitulé.
Nous sommes devant une saga familiale débutant avec des parents italiens, venus au monde en Algérie. Repeignant plusieurs générations, le récit nous plonge dans le quotidien, les soubresauts, mais également la guerre. Marie-Claude Jouvet nous fait revivre les péripéties de sa lignée depuis ses bisaïeuls jusqu’à sa propre naissance et celle de ses soeurs.
Le titre du bouquin reflète donc les diverses étapes de cette saga familiale. Les mets sont conséquemment une représentation de repas des régions que nous parcourrons. L’Algérie et l’Italie, entre autres. Comme tout livre historique du type généalogique, l’un des premiers problèmes qui s’imposent est le nombre considérable de personnages. C’est le cas de toutes les oeuvres intergénérationnelles que j’ai pu lire. Plus il y a de protagonistes, plus on s’embrouille les pinceaux. C’est un peu l’occurrence de ce roman-ci.
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