Parfois, vous apprenez une nouvelle.
Elle peut venir d'une amie très chère, d'un collègue, d'une personne que vous connaissez à peine.
Cette nouvelle n'est pas qu'une information, c'est parfois une gifle.
Un coup.
Un coup qui vous sert le cœur, vous coupe la respiration, vous donne envie de pleurer (mais ça, généralement, vous le faites 3h plus tard lorsque vous avez retrouvé le silence de votre appartement). Un coup que vous n'aviez pas prévu, un coup soudain qui vous laisse assommé.
Il y a ces quelques journées pendant lesquelles vous êtes en mode automatique et pourtant le coup vous a fait mal, profondément. Mais qui peut réellement le voir à part vous ? Un cœur en mille morceaux, un estomac noué, cela n'est pas forcément visible de l'extérieur. Alors il faut continuer d'avancer en espérant que ce coup deviendra progressivement "une épreuve de la vie", "un accroc" que l'on a réussi à surmonter...
Savoir rebondir devient progressivement tout un art pour ne pas se morfondre et continuer, tant bien que mal, d'avancer.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble
posté le 04 octobre à 21:15
C'est tout à fait vrai, il est très difficile de ravaler ses larmes quand on est bouleversé, quand quelque chose vous touche au plus profond, mais que vous ne vous voulez pas le montrer, ça s'appelle de la pudeur! Je n'aime pas m'effondrer devant les autres mais des fois on ne peut plus se contrôler et tant mieux!! Souvent je pleure quand je suis seule malheureusement on ne choisit pas quand on va pleurer!! au volant de sa voiture ou au fond de son canapé!!