En ce mois de septembre, où j’ai eu le temps d’épuiser mon stock de séries, un nom qui a bercé le cinéma et la littérature fantastique m’a interpellé sur la Toile : Grimm.
A Portland, un policier du nom de Nick Burkhardt découvre par sa tante, qu’il est le dernier descendant des « Grimm ». En somme, il est capable de voir des créatures, tels que des loups garou ou des vampires, sous leur forme humaine. Les éliminer fait partie de son ADN.
Grimm possède de nombreux points communs avec la série Supernatural, notamment le caractère de Nick, sorte de mélange concis des frères Winchester. A chaque début d’épisode, et comme bon nombre de séries policières, Grimm voit ses épisode introduits par un crime. Crime que l’on voit dès les premières minutes par le biais de la victime. Mais comment rendre intéressant une série fantastique qui voit son scénario s’élaborer en s’inspirant de séries comme Esprit Criminel ? Grâce aux seconds rôles, le loup-garou, Eddy Monroe, en première ligne : joué par le fou dans Prison Break Silas Weir Mitchell, le loup-garou permet de donner à Grimm un combo original, entre un flic et un créature surnaturelle. L’un apprend à l’autre comment chasser et crée une véritable amitié entre deux personnages qui n’avaient, à l’origine, rien en commun.
Etant un fan de « Supernatural », je conseille donc vivement cette série au regard de la surprenante capacité de Nick Burkhardt à tuer des créatures la nuit et à exercer son métier de policier le jour. Ce qui m’a plu dans cette série, c’est l’apparition tardive du fondement de la série, au-delà de la découverte des dons de Nick. Un peu comme dans Games of Throne.
Un peu trop de répétitions