Finito. Adieu Toscane !
Resteront les souvenirs du café de 11 heures (A), du Campari au bitter (B) pour l’apéro du soir, des après-midi au bord de la piscine (C), de l’émerveillement banal mais sans cesse renouvelé des couchers du soleil (D), la rencontre quotidienne du vieux joggeur (E) lors de nos départs et des contemplations sans cesse renouvelées de la campagne toscane (F) (G)., le choix des produits pour le repas du soir (H), le bon-sens des automobilistes italiens (I) et le restaurant quotidien.
Plus exceptionnels, aussi, ces rencontres inattendues, Taddéo Di Bartalo et son jugement dernier à la Collegiatat de San Giminiano (1), ce portrait étonnamment moderne d’un peintre non précisé au Palazzo Bruni d’Arezzo (2) que j’attribuerai volontiers à Pierro della Francesca - Ciocchi Della Robbia et ses sculptures (3), le buratto (pantin) (4) et les costumes du Moyen-âge (5) de la giostra del Saracino de Sarteano, les merveilleuses fresques au sein de l’Abbazia di Monte Oliveto Maggiore de Sodoma dont les extraordinaires portraits (6) me rappellent tant Enki Bilal - mais aussi ceux de Signorelli (7) dont les culs des jeunes hommes (8 et 9)n’ont rien à envier à ceux qu’aimait peindre Sodoma (10 et 11) - les sibylles (10) gravées sur marbre de Giovanni Pisano sur le sol du Duomo de Sienne.
Taddéo Di Bartalo et son jugement dernier à la Collegiatat de San Giminiano
portrait d’un peintre non précisé au Palazzo Bruni d’Arezzo
Bas-relief de Ciocchi Della Robbia
buratto de la giostra del Saracino de Sarteano
costumes du Moyen-âge portés lors de la giostra del Saracino de Sarteano
fresque de Sodoma au sein de l’Abbazia di Monte Oliveto Maggiore
Portrait de Signorelli au sein de l’Abbazia di Monte Oliveto Maggiore
Quelques culs de Signorelli
Et ceux de Sodoma
Une des sibylles de Giovanni Pisano
Une autre des sibylles de Giovanni Pisano