Pourtant, vu la manière dont il a géré le cas Lloris, on a du mal à croire Andre Villas-Boas quand celui-ci évoque ses rapports avec ses patrons : « Ce n’est pas vrai de dire que ces dernières semaines j’ai ressenti la pression du club » explique-t-il dans la Gazzetta Dello Sport.
« Au contraire, je m’entretiens quotidiennement avec le président Levy. Nous assurons le développement du club en parfaite harmonie » a-t-il ajouté.
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