ça me fait mal de le dire, mais elle reprezent
Nous aussi on peut faire du hit sur le dos de la République. Hum bon donc ça, c’est dit. Sinon, parlons un peu du sujet du jour. Alors. Je n’ai pas une sympathie de fou pour Carla Bruni. Comme toutes les ersatz de bobo, j’ai acheté son 1er album quand il est sorti. J’avoue, j’avoue. Bon depuis j’ai honte, il est caché loin loin avec mes albums de… non ça j’en parlerai une prochaine fois. Le ridicule ne tue pas mais il faut savoir en user avec parcimonie. Tout ça pour dire, j’en suis revenue depuis un baille. En plus de ça, j’aime pas les filles qui volent les copains des copines. Et j’aime pas non plus les signes extérieurs de richesse en général et le bling-bling en particulier.
Si en plus l’idée c’est de vendre aux enchères des photos de la première dame à poil, mon côté vieille France en prend un coup.
Bref. Tout ça pour dire que ce que je m’apprête à écrire me coûte. Surtout quand on connait ma bonne foi légendaire. J’attends un maximum de compréhension et de gentillesse de mes proches. Que personne ne me juge et évitez les sarcasmes. Bon je me lance. Je plonge, j’ose.
Elle avait la classe, à Londres, Carla.
Le violet, c’est la couleur de l’été. Elle le met à toutes les sauces, ok, parfois c’est pas réussi mais il faut avouer que là, le manteau est juste sublime. Les accessoires vintage, le bibi simple et qui fait la différence, le tailleur parfait…
Un petit côté classique très première dame, je ne dirais pas quasi Jacky O. parce que je fais déjà des efforts pour avouer qu’elle était nickel, ne m’en demandez pas trop d’un coup. Mais tout de même, on y pense. L’inconscient reprend le dessus et donc après, on cherche le détail qui tue. Le détail qui tue n’a plus de rollex.