Le 10 avril dernier a été publié Le Candauliste. Je vous invite à lire un extrait de cette nouvelle :Ses récits ont ensuite évolué afin que le voyeur soit sollicité. À la façon des pin up qui coincent malencontreusement leur jupe pour offrir un point de vue sur leurs jarretelles, elle se plaçait dans des situations délicates pour qu'un galant homme la secourût. J'étais invité à assister aux effleurements nécessaires, au palper un peu plus prononcé lorsqu'elle faisait mine de ne pas trouver ce toucher inconvenant. Je cédais ma place de jeune premier pour tenir celui de figurant, muet devant la hardiesse du contact et l'excitation visible de cet homme qu'Élodie décrivait en mots de plus en plus crus tout en me branlant. Le sexe avec elle a pris des couleurs d'interdits, de trios envisagés, de voyeurisme, de jeux de langue entre femmes auxquels j'assistais, caché dans un placard, derrière l'entrebâillement d'une porte ou assis sur une chaise, entravé par des liens. Les scènes sont devenues scabreuses. Dans ses scénarios, je regardais un homme la peloter dans le métro, frotter sa verge contre ses fesses, coulisser contre sa raie. Je l'observais de loin lorsqu'elle invitait du geste ce même homme à la suivre. Son regard lubrique planté le mien, elle me répétait : « Dis-moi que ça t'excite. Tu aimes me savoir tripotée sous tes yeux. » Je ne pouvais pas le nier, j'avais une trique d'enfer.
Le 10 avril dernier a été publié Le Candauliste. Je vous invite à lire un extrait de cette nouvelle :Ses récits ont ensuite évolué afin que le voyeur soit sollicité. À la façon des pin up qui coincent malencontreusement leur jupe pour offrir un point de vue sur leurs jarretelles, elle se plaçait dans des situations délicates pour qu'un galant homme la secourût. J'étais invité à assister aux effleurements nécessaires, au palper un peu plus prononcé lorsqu'elle faisait mine de ne pas trouver ce toucher inconvenant. Je cédais ma place de jeune premier pour tenir celui de figurant, muet devant la hardiesse du contact et l'excitation visible de cet homme qu'Élodie décrivait en mots de plus en plus crus tout en me branlant. Le sexe avec elle a pris des couleurs d'interdits, de trios envisagés, de voyeurisme, de jeux de langue entre femmes auxquels j'assistais, caché dans un placard, derrière l'entrebâillement d'une porte ou assis sur une chaise, entravé par des liens. Les scènes sont devenues scabreuses. Dans ses scénarios, je regardais un homme la peloter dans le métro, frotter sa verge contre ses fesses, coulisser contre sa raie. Je l'observais de loin lorsqu'elle invitait du geste ce même homme à la suivre. Son regard lubrique planté le mien, elle me répétait : « Dis-moi que ça t'excite. Tu aimes me savoir tripotée sous tes yeux. » Je ne pouvais pas le nier, j'avais une trique d'enfer.