Music live...

Par Latheierelectrik

Heureusement,il y a eut cette rencontre pour sauver ce week-end chaotique...

NARUMI,membre du groupe Tristesse contemporaine, porte le plastron en cuir "Elle"...il était fait pour Elle,non???!!!

J'avoue...j'ai pris la décision de venir au Free Market sachant que j'allais voir en live ce trio anglo-suédois-japonais, que j'ai découvert il y a quelques mois sur le net (je me demande si je ne les ai pas entendu sur les ondes de France Inter???)...Et HOURA!!!...c'était carrément TOP!!!

  

Les mots des INROCKs:

"Un album d’electro cold et métronomique par trois apatrides installés à Paris.
Avant le son, le nom. On a aimé Tristesse Contemporaine avant même l’écoute, en se répétant comme un mantra ces huit syllabes – les plus belles allouées à un groupe de rock depuis bien longtemps. C’était en 2010, et Tristesse Contemporaine sortait sur Fondation Records (le label du producteur marseillais Danton Eeprom) 51 Ways to Leave Your Lover, invitation opiacée et languide au dance-floor. Composé de trois apatrides installés à Paris, la Japonaise Narumi, le Suédois Leo Hellden (déjà aperçu chez Aswefall) et l’Anglais Maik (ex-Earthling), Tristesse Contemporaine a trouvé asile chez les infatigables têtes chercheuses du collectif et label parisien Dirty.
Mixé de main de maître par Pilooski, qui a su faire ressortir les basses claquantes et le groove cold et kraut du trio, ce premier album à la séduction métronomique et tranchante ne se contente pas de rendre hommage aux incontournables du genre. Si les guitares et les basses regardent bien du côté de Joy Division (Empty Hearts et sa pulsation calquée sur Shadowplay), le trio s’autorise des audaces beaucoup plus pop et personnelles (Hell Is Other People, avec ses chœurs à la 10cc et son phrasé hip-hop) et des échappées dance-floor mélancoliques.

Toujours se méfier de la tristesse des exilés : elle est infinie et contagieuse."