En fait, il me semble que les entreprises allemandes font très bien des choses très simples (et qu'elles décomposent habilement le compliqué en simple), et qu’elles ont une très grande intimité avec leurs clients. Par contraste, le Français fait généralement mal des choses très compliquées, et il est un effroyable donneur de leçons. Il a une sorte de vision de l’idéal qu’il n’arrive jamais à atteindre. Du coup, il méprise ce que fait l’Allemand, sans être capable d’achever correctement grand-chose. Ce qui suscite le mépris de l’Allemand.
J’examine des entreprises allemandes. Elles m’impressionnent. Beau site web qui
vante leur savoir-faire et leur recherche, liens étroits et de confiance avec
de très grands clients (surtout allemands)… Jusqu’à ce que je rencontre quelqu’un
qui les a vues de près et qui ne partage pas mon enthousiasme.
En fait, il me semble que les entreprises allemandes font très bien des choses très simples (et qu'elles décomposent habilement le compliqué en simple), et qu’elles ont une très grande intimité avec leurs clients. Par contraste, le Français fait généralement mal des choses très compliquées, et il est un effroyable donneur de leçons. Il a une sorte de vision de l’idéal qu’il n’arrive jamais à atteindre. Du coup, il méprise ce que fait l’Allemand, sans être capable d’achever correctement grand-chose. Ce qui suscite le mépris de l’Allemand.
L’Europe du nord a une autre caractéristique qui me
surprend. Ceux de ses ressortissants que je connais présentent des symptômes
aggravés des maux qu’ils attribuent aux pays latins. En particulier, ils sont souvent
très en retard aux rendez-vous qu’ils me donnent et incapables de tenir leurs
engagements. On me dit « qu’ils ont été contaminés par la France ».
Je pense plutôt que ce qui fait la force des pays du nord est leur
organisation, non les vertus de leurs citoyens. C’est probablement pour cela
que l’on y produit beaucoup plus en travaillant beaucoup moins que dans le sud.
En fait, il me semble que les entreprises allemandes font très bien des choses très simples (et qu'elles décomposent habilement le compliqué en simple), et qu’elles ont une très grande intimité avec leurs clients. Par contraste, le Français fait généralement mal des choses très compliquées, et il est un effroyable donneur de leçons. Il a une sorte de vision de l’idéal qu’il n’arrive jamais à atteindre. Du coup, il méprise ce que fait l’Allemand, sans être capable d’achever correctement grand-chose. Ce qui suscite le mépris de l’Allemand.