Born in 80′s #16 : Tatouage

T COMME TATOUAGE

Aujourd’hui, le tatouage est entré dans les moeurs. Plus personne n’est choqué en voyant une personne tatouée, même quand elle l’est de la tête au pied. Pourtant dans les années 80, le tatouage avait une signification beaucoup plus profonde.

Les personnes tatoués revendiquaient leur appartenance à un mouvement (Hell’s Angels, militaires, gangs…). Puis petit à petit, les chanteurs de rock ont commencés à montrer sur scène et sur leur pochette d’album leurs corps tatoués.

A partir de là, la machine s’emballe et les icônes tatouées sont de plus en plus nombreuses et les fans commencent à suivre le mouvement.

A présent, le tatouage n’est plus une question seulement identitaire, il est aussi devenu un ornement esthétique. Un moyen d’embellir son corps, de faire de sa peau une toile. Naturellement, il y a tatouage et tatouage. Entre celui discret dans le creux du poignet et avoir le corps recouvert de tatouage, il y a une sacré marge.

Personnellement, j’ai craqué pour les tatouages alors que j’étais ado. Cependant, j’aurai attendu d’avoir plus de 20ans pour passer à l’acte. Je ne voulais pas me faire tatouer par rébellion contre ma famille, ou juste pour le fun. J’avais envie qu’il représente quelque chose, qu’il soit une véritable part de moi.

Il ne faut pas l’oublier, à moins d’utiliser du henné, le tatouage est quelque chose de définitif et cher. Il faut se dire que l’on va vivre avec ce motif sur le corps le reste de notre vie et donc ne pas s’en lasser au bout de deux mois…

Aujourd’hui, j’ai deux tatouages et je songe fortement aux deux prochains. Le tout est assez discret et je reste sobre en refusant les tatouages en couleurs.

Contrairement aux idées reçues, un tatouage fait dans de bonnes conditions et par un véritable pro ne fait pas forcément mal.

D’ailleurs si vous avez besoin d’adresse et de conseil à ce sujet, n’hésitez pas à me joindre