The Economist s’est inspiré des résultats d’un travail de recherche d’étudiants de l’Université de l’Oregon pour voir s’il y a une corrélation entre la religion, les croyances et la criminalité.
En ordonnée verticale, vous avez le niveau de criminalité, à l’horizontal, vous avez % personnes qui croient au paradis – % ceux qui croient à l’existence de l’enfer. Plus la différence est élévée, plus vous avez de gens qui croient au paradis (et donc au pardon des pêchés) que de personnes qui croient à l’existence de l’enfer.
Conclusions :
- il n’y a pas vraiment de relation entre la religion et le niveau de criminalité.
- les pays musulmans étudiés enregistrent un niveau de criminalité assez bas. Par ailleurs, ils croient autant à l’existence de l’enfer et du paradis (la différence entre les deux % est nulle).
- il semble que se sont les chrétiens qui croient le plus à la rédemption et ont tendance à se laisser un peu aller pendant leur séjour sur terre. Le Venézuela, la Colombie et Guatemala en sont un bon exemple.
C’est vraiment bizarre que ce soient les gens qui croient au pardon des pêchés qui sont les plus criminels non?
Jeu de briques
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