Avant le départ lorsque vous tapez sur un moteur de recherche “trouver-job-japon” on vous conseille généralement de donner des cours de langues. Autant le dire maintenant la langue de Molière n’est pas l’une des plus courues aux pays du soleil levant. Comme partout, l’anglais est roi… De quoi réveiller chez Thierry La France le besoin de bouter l’anglais.
Mieux vaut vous présenter en tant que prof d’anglais, et dans un deuxième temps de français, c’est ce que je fais. Le niveau moyen du japonais en anglais est proche de celui des français, donc si vous pouvez leur montrer un TOEIC qui dépasse les 850 points, cela est un plus. Même si là, les natifs d’une ex-colonie britannique ont plus de chance. A vous de casser les prix!
Passons pour en revenir à nos japonais qui ont soif d’apprendre. Les différents moyens pour trouver des “students” sont nombreux, les sites internet ne manquent pas : Hello-sensei, Findstudents, teacher-in-japan… Pour ma part, ne voulant pas faire de cette activité ma principale je me suis inscrit sur Hello-sensei et Findstudents en tant que prof de “franglais”, c’est les sites dont on m’a le plus parlé.
Tout ça c’était avant que j’en discute avec des filles, d’ou la phrase chère à Elie Sémoun, “Si tu es blonde à forte poitrine, tu m’intéresses“. La gente féminine n’a pas trop de mal à trouver de “studieux étudiants” ayant un attrait soudain pour la langue de Shakespeare. A en croire ce qu’elles disent, il y a des propositions assez étranges. Pour percer le mystère j’ai monté un petit stratagème. Mais je vous raconterais tout ça prochainement dans “ Donner des cours de langue au Japon : la pratique “