Alphas // Saison 2. Episode 7. Gods and Monsters.
Cette semaine, Alphas revient au lycée. L'idée de base était amusante et surtout le début de l'épisode, mais je me suis malheureusement ennuyé une fois les dix premières minutes passées. C'est
dommage parce qu'il y avait beaucoup plus de potentiel que l'on ne pourrait le croire. Notamment parce que Parish était dans le coeur de l'épisode. Et son duo avec Rosen était plutôt efficace.
Depuis le début de la saison j'attends cette confrontation entre les deux personnages et elle arrive donc sept épisodes plus tard. Sauf que ce n'est pas réellement pour les confronter mais
uniquement pour lier leurs idées. Ce qui est à mon sens une très mauvaise idée. J'avais envie de voir de l'action, de voir les deux personnages entrer réellement en conflit. Forcément, Parish est
uniquement là dans son propre intérêt et pas uniquement pour aider Rosen à sortir Jason (l'alpha de la semaine) de son état. Ce dernier peut contrôler la pensée de toutes les personnes qu'il
touche. Autant dire que pour Parish, c'est du pain béni. Il a besoin de lui.
Rapidement tout se met assez bien en place autour de Jason. Le personnage était assez efficace en soit même si je m'attendais à quelque chose d'un peu plus organisé et original. Depuis le début
de la saison Alphas a le chic pour nous offrir des épisodes indépendants très originaux tout en développant derrière la mythologie de la saison (beaucoup moins décousue que durant la première
saison). Cependant, malgré le fait que l'on avance un peu dans l'histoire de la saison avec Parish, finalement je suis déçu de la manière dont cela a été avancé. J'attends peut être trop de
choses de la série mais quand on nous annonce un épisode comme celui ci, il faut savoir être à la hauteur. En effet, pendant ce temps, Nina et Rosen sont capables de faire en sorte que
l'organisation médicale Stanton Parish ferme ses portes en faisant pression sur un sénateur. On s'en souvient tous de ce qui s'était déroulé il y a quelques épisodes.
Note : 4.5/10. En bref, un épisode beaucoup trop médiocre dans sa manière d'exploiter l'histoire. Dommage.