Ce dernier est appelé à « travailler ses abdominaux, s’il veut conserver sa position pour affronter une éventuelle prochaine tempête», selon un certain Thomas Veraguth, économiste d’UBS.
Au lieu de s’éparpiller en études discutables, UBS ferait mieux de s’occuper de ses propres affaires, pour lesquelles c’est elle qui va avoir besoin de muscles.
On rappelle que sans le secours de la population suisse ou plutôt de son gouvernement, UBS ne serait plus là pour dispenser ses « conseils » (ce qui ne serait pas un mal!)