Non pas l'épluchette de blés d'Inde dans la cour d'école ou le déjeuner communautaire? Non, ici, le classique de la rentrée, c'est le «p'tit nez qui coule» et la charmante poussée de fièvre qui va avec!
Je pensais m'en être sauvée. J'ai eu tort de célébrer trop vite. Hier matin, JeuneHomme s'est levé avec un oeil tout enflé et rouge (svp! svp! svp! Pas une conjonctivite!!). En plus du ne qui coule! Go à la pharmacie! Achat de gouttes et de sirop contre les allergies.
Le soir vers 17h, en revenant de la Ronde en sortie de filles, MissLulus s'est couchée d'elle-même. Une rareté. Un fait exceptionnel. Un événement historique! JAMAIS qu'elle ne veut se coucher. C'est ma couche-tard et ma «je résiste». J'ai cru que sa journée l'avait épuisée. En fait, je tentais de me persuader que tout allait bien. Mais non, elle s'est levée deux heures plus tard en se plaignant d'un mal de gorge et débordant de sueurs... de fièvre. J'ai soupiré en cherchant un sirop et des pilules, mais au moins je n'ai pas eu à retourner à la pharmacie.
Mais somme toute, ils vont bien. Ce sont les classiques microbes de la rentrée. Ils se sont couchés à 20h sans rechigner. Pas un son de la nuit. En me réveillant il y a quelques minutes, je me suis dit que cette année l'assaut des virus scolaires ne sera peut-être pas trop pire, finalement. «J'ai peut-être cassé ça dans l'oeuf!», que je me suis dit en guise de félicitations.
Oups! J'ai peut-être parlé trop vite. Devinez qui vient d'éternuer trois fois?
Moi.
Où est l'échinacée, dites-moi?