Evidemment, vous vous attendez à découvrir un article sur la saison des pluies au Cambodge, aux inondations dues à la crue du Mékong ou encore aux grandes difficultés que connaissent la plupart des Cambodgiens pour se déplacer lorsqu’il y a de l’eau partout.
Et bien non. C’est de l’eau saine dont on parle ici et maintenant.
Le hasard fait bien les choses : lors de mon dernier déplacement à Phnom Penh, j’ai eu la chance de rencontrer deux personnes formidables.
François Jacquenoud d’abord. Une personnalité attachante et déterminée, un homme lucide et engagé. Le profil de celui qui veut changer les choses. Et il les change ! En apportant des solutions de terrain pour procurer aux cambodgiens de l’eau potable et saine.
Lo Chay ensuite. Un cambodgien étonnant, francophile et brillant. Ils travaillent tous deux de concert pour faciliter l’accès à l’eau, mais aussi à responsabiliser les villageois sur l’importance de changer leurs habitudes et à faire de l’eau une opportunité de développement.
Concrètement, il suffit de visiter une installation pour se rendre compte de l’ampleur de la tâche… et du résultat ! Forer, puiser, traiter, embouteiller puis distribuer de l’eau. Cela vous parait simple ? Allez voir du côté des villages si cela est si simple…
C’est pourquoi je soutiens l’action de 1001 Fontaines : l’action est pertinente, cohérente et structurée et les résultats sont éloquents : moins de mortalité infantile, moins de maladies, plus d’espérance de vie. Cela se mesure. c’est impressionnant.
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